Cette technique d’optimisation SEO a été imaginée par le Français Laurent Bourelly.
L’ambition du cocon sémantique est simple : valoriser les pages de premier niveau en misant sur un maillage interne logique.
Comment fonctionne le cocon sémantique ?
Evidemment, la technique a été simplifiée ici à son strict minimum. La création d’un site organisé en cocon sémantique est complexe.
Sa mise en place peut être longue (et éprouvante). En effet, elle peut remettre en cause la vision même de votre métier sur le web. Vous allez voir votre métier au travers des yeux de votre cible, non plus au travers de vos yeux d’experts.
Elle demeure un excellent moyen pour la réussite d’une stratégie SEO complète, sur laquelle s’appuie également la rédaction web.

Quels risques pour un cocon sémantique ?
Cette technique d’optimisation est une technique considérée comme « white hat ». Cette expression parlera aux personnes qui s’intéressent au SEO, tout comme le terme black hat leur parlera.
Le white hat est la mise en place des recommandations de Google pour gagner en positionnement et donc en visibilité SEO. A l’inverse, le black hat est la mise en place de raccourcis, non recommandés par Google, pour améliorer ses positionnements.
Les sites qui utilisent une stratégie SEO black hat peuvent risquer des pénalités infligées par Google jusqu’à se voir parfois supprimer de l’index du moteur de recherche.
De fait, en suivant les recommandations développées par Laurent Bourelly lorsqu’il a théorisé son Cocon sémantique, vous ne risquez pas de pénalités de Google.